L’excitation n’a pas d’âge

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il y a 6 ans

L’excitation n’a pas d’âge

Cette aventure avait débuté lors d’une réception, dont j’avais la charge sur son bon déroulement. Je me garderais bien de dévoiler le pourquoi de ce rassemblement. Tout de fois, il y avait pas mal de monde. La collation était à la hauteur de l‘événement. Buffet froid, avec pétillant à volonté. Les convives allaient et venaient autour des tables, se goinfrant à s‘en faire péter la ponce. La cérémonie battait son plein, avec une ambiance bon e n f a n t .

Dans un coin, se trouver Lucette, une habituée dans ce genre de parade. Elle était en train de discuter avec mon collègue Bruno, assise sur une chaise capitonnée. Une coupe de champagne dans sa main droite une assiette de friandises en équilibre sur ses genoux gainés de bas clairs.

Je l’avais bien repéré à son arrivée, elle et son visage à la peau burinée, très ridée, avec son regard de vieille vicieuse. Juchées sur des escarpins noirs à talons hauts qui renf o r ç a ient le galbe de ses jambes, et allongé de quelques centimètres sa silhouette.

Ils se disaient d’elle, qu’elle croquait du jeunot comme d’autres croquaient des pommes.

Tiens ! Remarquais-je pour moi-même, elle avait changé de coiffure. Au lieu d’avoir ramenés ses cheveux en chignon comme elle le faisait tout le temps, ce soir là, ils tombaient librement sur ses épaules. Cela lui donnait un certain charme à sa figure pointue. Fort de constater qu’elle n’était pas si laide que ça. Elle avait profitait de la douce tiédeur de l’atmosphère à ce moment de l’année, pour choisir de mettre en valeur sa poitrine haute et pointue au moyen d’un chemisier blanc. Un fin collier de perles ajoutait encore une touche de raffinement au buste racé de la mamie. La jupe droite bleu marine lui donnait une allure de première communiante ou d’écolière attardée.

Pour ne pas passer pour un goujat, je fis les quelques pas qui nous séparé, pour aller la saluer. En lui faisant la bise je me suis permis de me pencher au-dessus de son décolleté. M’autorisant de loucher sur les lourdes mamelles laiteuses, luisantes de transpiration dont le soutien-gorge pigeonnant ne cachait pas grand-chose. Tout cela n’était pas pour me déplaire. Tout au contraire, je sentais comme des picotements au fond de mon slip.

Le brouhaha des conversations faisait un fond sonore engourdissant. Personne ne prêtait attention à nous. Une discussion réfléchie s’en suivis, qui fit très vite place à une autre plus polissonne. Ce qui chez elle était un rituel. Et comme pour donner plus ampleur à son excitation orale, elle se saisissait d’un mini éclair au chocolat posé sur son assiette et le porta à sa bouche. Je pris plaisir à voir la pâtisserie entre ses lèvres. J’imaginais mon sexe à la place.

Et pourquoi pas ? Passer du fantasme à la réalité. Ma résolution était prise. J’allais débaucher cette mamie. Juste pour refaire tomber la pression de la journée. Je pris Bruno à l’écart et lui proposais un deal.

  • Tu veux ta journée de demain ? Lui proposais-je.

  • Oui…

En quelques mots je lui expliquais ce que j’attendais de lui.

  • Un quart d’heure, tu entends ? Pas plus, pas moins…

  • Oui me fit-il, en prenant le chemin de la sortie.

Alors qu’il disparaissait, je me suis approché de nouveau de Lucette. Toujours assise confortablement sur sa chaise

  • Le collègue a prit congé, me fit-elle.

  • Oui ! Juste pour un moment. Lui répondais-je, ma braguette à hauteur de ses lèvres ourlées de jeunette dans sa tête de mémé.

Seconde après seconde, naissait en moi une envie irrépressible de jouir là, tout de suite, au milieu des invités. Le genre d’envie qui vous, dévore, qui vous ferez faire n‘importe quoi. La même qui illumine vos séances de plaisir solitaire. L’essentiel était qu’elle ne refuse pas ce que j’allais lui imposer. Pas le temps d’approfondir la question que déjà le noir se fit autour de nous. Bien joué Bruno !

  • Ne bouger pas monsieur et mesdames, la lumière va revenir. Soyez patient. Criais-je à l’assemblé tout en extirpant ma verge de mon pantalon. Un peu de sève s’écoulait de mon gland

Pas le temps de divergé, les minutes m‘étaient comptées. Mon cœur cognait dans ma poitrine, Je la pris par les cheveux et l’attirai à moi pour qu’elle me lèche le sexe. Elle ne me prit même pas entre ses doigts. Elle alla directement chercher mon gland avec sa bouche. J’ouvrais mon pantalon, le baissais d’un coup, le slip avec. Mon cœur battait plus fort. Sa bouche était bien chaude, ma queue palpitait entre sa langue et son palais. Elle me prit les couilles entre ses deux mains. Les soupesa, les malaxa, les sentant tourner dans mon sac poilu. J’avais l’impression d’être dans une chatte. Une chatte avec une langue. Elle s’appliquait. Elle laissait glisser ma queue entre ses lèvres. Mon gland buttait au fond de sa gorge. Elle me donna des petits coups de langue sur le méat, je sursautais.

Pris d’une exaltation extrême, je plongeais ma main dans son décolleté. M’emparais d’un sein que je me mis à pétrir, le pressais vigoureusement. Savourant leur fermeté. Écrasant les pointes bandées entre le pouce et index. Les faisant rouler sous mes doigts. Tout en balançant mes reins au-devant de la bouche gourmande.

En jouissant, je me retins d’exprimer mon bien être. Je vous laisse deviner pourquoi ! Elle prit soin d’acheva son travail en nettoyant la base de ma queue avec la pointe de la langue. Saoulé de plaisir, je me rajustais, tout en la remerciant pour sa parfaite contribution.

  • Il faudra qu’un de ses jours je te rende l’appareil…

  • Mais quand tu veux ! Si tu ne le sais pas encore, je t’apprends que j’ai toutes mes portes ouvertes pour toi.

La lumière revint pour le plus grand soulagement de toute la salle, qui le fit savoir en applaudissant. Ce que je reconnu étant une ancienne collègue de Lucette passa près de nous, et vint nous faire la causette. Comme par hasard la conversation se fit plus amicale, plus sage. Alors qu‘elles retraçaient des anciens souvenir, j’en profitais pour m’éloigner. Cela n’échappa pas à Lucette. Elle m’interpella, en s’excusant au près de son amie :

  • Tu as raison, mon garçon, la nature est belle pour celui qui sait la découvrir, avec passion et délicatesse… il faudra quand se revoie pour approfondir la chose. Tu ne crois pas ?

  • Je suis à ta disposition. Tu sais où me joindre ?

  • T’inquiète, compte sur moi, je le ferais. Je te souhaite une belle fin de soirée.

Les jours passaient et enfin, elle daignait m’appeler. D’une petite voix timide, elle me dit :

  • Si cela est possible, j’aimerais bien te revoir !

  • Mais quand tu veux… je désespérais à ne pas avoir de tes nouvelles…

  • C’est que ses derniers temps… enfin ! Si tu viens ce soir, fit-elle, reprenant le tinte de voix que je lui connaissais. Sache que tu dois m’obéir sans hésiter ! Je t’attends chez moi, ce soir à 20H00. J’espère que tu ne seras pas trop sage avec moi… j‘ai comme un besoin d’être comment dire : profané, oui c’est ça… pro…fa…né.

  • Je viendrais, disais-je.

J’étais inondé de bonheur alors qu’elle raccrocha. Je restais figé, l’appareil à la main. J’avais vécu le restant de la journée juste pour ce moment que j‘allais passer avec Lucette. J‘avais encore en mémoire son dernier mot, qu’elle avait bien épelé :

  • Pro…fa…né…

Comme si elle voulait que ces trois syllabes soient gravées dans ma mémoire. La scène de la réception me revint à l’esprit et ça jusqu‘à arrive l’heure dit. À l’endroit indiqué je sortais de ma voiture et courais jusqu’à l’entrée.

Elle occupait un grand appartement. Trop grand pour une femme seule comme elle l‘était. Il se situait dans un quartier cossu. Je traversais un hall assez vaste d’où partait un escalier en bois dont la rampe était en fer forgé. Qui se mettait à craquer à chacun de mes pas.

Elle me reçut dans une jupe rouge vif, et un corsage blanc. Aux pieds des escarpins vernis. Elle m’introduisait dans son appartement et me pilota jusqu’à ses intérieurs. Quand elle s’effaça pour me laisser passer, je sentis le parfum de sa peau. Je débouchais dans une grande pièce, qui faisait office à la fois de salle à manger et salon. Je fus impressionné par la vaste bibliothèque en acajou chargée d’ouvrages aux reliures en cuir qui couvraient entièrement les murs de la pièce. À aucun moment, elle ne m’avait quitté des yeux, avec un sourire malsain qui animait ses lèvres. Tous les meubles étaient anciens, assortis avec goût. Et alors que j’étais en pleine contemplation, elle se jeta sur moi. Bouche ouverte, me léchant le visage. Suça mes lèvres et ma langue.

  • Excuse-moi… fit-elle, en s’écartant. Je suis trop excitée ! Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je te jure, c’est la première fois que cela m‘arrive.

  • Oh ! Ne t’excuse pas, Lucette, je suis moi aussi très excité…

Lui désignant la bosse que faisait mon érection sous la toile de mon jean.

  • Alors ne perdant pas de temps. Il faut battre le fer quand il est chaud. Passant dans la chambre, si tu veux bien, nous y serons mieux…

Que fut ma surprise en y entrant de trouver sur le couvre lit normand en menuisier, une cravache et deux s a n g les déjà arrimées aux pieds du lit, se terminant par des menottes.

  • Cela te dit de jouer avec moi ?

Prenant le temps de répondre, je caressais ses genoux joints, ma main remontait le long des cuisses serrées et effleurais le slip humide. Je pressais la vulve à travers le fin nylon.

  • Tu tombes bien… je suis moi-même du genre aventurier…

Me saisissant de sa main droite.

  • Je pense qu’il faut que je t’attache à ce que je vois…

  • Tu n’es pas obliger. Mais bon ! Je préférerais…

Avec le premier bracelet, j’emprisonnais le poignet de la mystérieuse Lucette. Effectuant la même manœuvre pour le second. Elle se trouva en un clin d’œil immobilisé au pied de son lit. D’elle-même, elle se pencha en avant, l’estomac reposant contre le devant du lit, m’observant par le biais du reflet du miroir.

Je soulevais l‘ourlet de sa jupe vers le haut, la remontant jusqu’à la taille, découvrant complètement ses grosses cuisses. Elle portait en dessous une culotte jaune paille, décorée de volutes brodées en relief, qui alternaient avec des surfaces en fines mailles transparentes. Le slip, assez échancré, laissait échapper deux ou trois mèches de poils frisés. Ses cuisses nues étaient d’une blancheur éclatante et pas du tout enlaidis par la moindre parcelle de cellulite, ou si peu.

Mes doigts s’introduisaient sous l’élastique de la culotte qu’ils firent glisser jusqu’à ses pieds. Son excitation avait délicatement taché le fond de son slip, de jaune tirant sur le beige. Comme je l’aurais fait avec un trophée, je lui brandis sous le nez.

  • Sens-moi ça ! Dans quel état tu l’as mis cette sage petite culotte… cochonne !

  • Oh ! Oui, excuse-moi… je suis une cochonne… je mérite bien une petite correction, non ! Tu ne crois pas ?

  • Je pense que oui…

Je lui fourrais sa culotte dans sa bouche. J’insinuais une main entre les cuisses, trouvais le clitoris et le frottais, observant le visage de Lucette dont le regard chavirait. Puis je me penchais pour me saisir de la cravache. Je fis claquer les lanières sur le bord du lit, avant de lui assainir le premier coup peu appuyé, qui la fit tout de même sursauter.

Vissant les fesses et les cuisses je me mis à frapper à une cadence rapide. Elle étouffa un cri dans sa culotte qu’elle mordait à pleine dents.

  • Sale petite cochonne… je vais t’apprendre à faire des cochonneries dans ta culotte… Je te jure que je vais te faire perdre l’envie de la salir. Elle se crispa. Les coups devenaient désordonnés, plus v i o l ents aussi.

De mon autre main je me saisis de son sein à travers le tissu, il était dur comme du marbre.

Je le lui en fis part. Elle essaya tant bien que mal d’y répondre, mais à cause de sa culotte qui obstruer sa bouche ses paroles étaient illisibles. Je pris alors la peine de le lui retirer et ses paroles fut des plus clair.

  • Je te disais que : oui, je bande des seins.

  • Et sais-tu pourquoi ils bandent si dur tes seins ?

  • Ils bandent parce qu’ils ont envie que tu continus à me punir.

  • Et ton clitoris, il bande lui aussi dur ?

Pour le contrôler je glissais ma main le long de son ventre. Elle s’écarta du meuble pour me laisser le libre accès.

  • Mais oui il bande lui aussi et tu mouilles, comme une cochonne. Fis-je, en lui pinçant son clitoris. Elle avait du mal à respirer.

  • Il t’arrive souvent de te branler ? La questionnais-je tout en lui touchant les grandes lèvres, puis la fente molle.

Elle s’agitait, sa respiration s’accélérait.

  • Quelquefois… arriva-telle à répliquer, d’une voix rauque…

  • Mais dis-moi, tu as un amant ?

  • Je m’en fou ! Oui, comme ça, comme ça… encore plus fort !

  • Tu as un amant… oui ou non ?

  • NON… cria-t-elle…

Et je me remis à faire pleuvoir des coups de cravache sur son cul déjà strié de rouge. L’insolite passivité de la femme donnait aux coups de cravache un côté excitant qui me rendait fébrile. S’en suivit d’elle, une jouissance brève mais v i o l ente qui la traversait comme une secousse électrique.

Je fus presque suffoqué d’être témoins d’une telle jouissance alors que des coups s’abattaient sur son postérieur. Après avoir jeté la cravache sur le lit, je caressais ses fesses boursouflées d’avoir été si maltraitées. M’insinuait entre elles, dans le sillon poilu brûlé par les coups, descendant encore, pour passer de l’autre côté, atteignant de la forêt de poils dans laquelle, je fouillais de nouveau.

  • Baise-moi maintenant… je veux que tu me baise… tu entends que tu me baises…

  • Je préfère ton cul si tu veux savoir…

  • Oui, si tu veux… encule-moi si cela te fait plaisir. Fais-moi tout ce que tu veux mais fais-moi jouir…

Elle poussait si fort que son anus se révulsait entre les poils.

J’empoignais les hanches, avançais mon visage, ouvrais la bouche et plongeais ma langue au milieu des poils noir. Durant un bon moment, je léchais à grands coups la mouille au goût d’urine, qui coulait en abondance. Je l‘entendais respirer par saccades, en se trémoussant sur place. En me poussant sa vulve dans ma bouche, pour me gaver de sa chair.

Puis ma bouche gravi l’étage supérieur. Là où se trouver le petit œil ridé. Longtemps, je le pourléchais. Comme toujours le goût m’émue. Le sphincter peu à peu s’assouplissait sous les percées de ma langue. La vicieuse était cependant plus réceptif de ce côté, m’encourageant de sa voix de poursuivre ma caresse buccale, frottant son cul contre ma bouche.

Une jouissance plus tard, je la pénétrais avec douceur et amour. Son cul était très accueillant. Le meilleur endroit de la terre pour mon y loger mon pénis. Le faisant aller et venir dans le boisseau de Lucette. Appréciant chaque frottement. Chaque centimètre carré de sa chair intime, chaque instant passé en elle. Dégustant les vagues incessantes de plaisir que cela me procurer.

Je perçus des petites contractions qui agissaient comme des caresses. Ses soupirs se muèrent en gémissements qui me rendaient fou. J’allais et venais de plus en plus vite dans son anus devenu praticable sous mes ruades. Elle accompagna chacun de mes mouvements pour mieux s’empaler sur mon sexe brûlant. Une contraction plus forte me mordait ma verge. Comme l’aurait fait une bouche édentée.

J’admirais ma verge qui rentrait et sortait d’entre ses fesses. Chaque impulsion m’approchait de la jouissance. J’ai joui en regardant ses fesses danser dans le reflet de la glace.

Alainylon

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